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Chez les Nadeau, l’assurance est une histoire de famille, car votre père est aussi courtier dans la région. Avez-vous toujours voulu suivre ses traces ?
Pas vraiment ! J’ai toujours respecté le travail de mon père, mais lorsque j’étais plus jeune, son domaine me semblait compliqué. Je voulais plutôt devenir psychologue, et je jouais sérieusement au football avec Les Triades au cégep de Lanaudière. Mais après plusieurs tâtonnements scolaires et professionnels au début de la vingtaine, j’ai commencé à m’intéresser de plus près au métier de mon père, et j’ai compris que je pourrais être heureux dans cette profession. Mon père m’a encouragé à travailler d’abord pour un gros cabinet. Je suis donc chez La Turquoise depuis 4 ans, en tant que courtier en assurance de dommages pour les entreprises. Et j’aime ça !
Quels sont les aspects du travail de courtier qui vous ont attiré vers cette carrière ?
Je cherchais d’abord une stabilité d’emploi. J’ai été comblé à cet égard : j’ai déniché tout de suite un poste en assurance d’entreprises. C’est une chance, car les courtiers débutants font souvent leurs premières armes en assurance de particuliers ou en assurance automobile. L’assurance d’entreprises est un domaine passionnant où je peux cultiver ma curiosité. J’apprends à maîtriser le vocabulaire de chaque entrepreneur et à comprendre sa réalité. Je me suis aussi découvert, au cégep, un intérêt pour les notions de droit, qui me servent tous les jours dans mon travail de directeur de compte commercial.
Vous jouez de la guitare et du banjo dans le groupe de musique traditionnelle québécoise Les Campagnards. Parlez-nous de cette passion.
Dans notre région, on baigne dans le trad dès l’enfance. J’ai le souvenir de veillées dans le sous-sol, chez mes grands-parents, où mon grand-père jouait du violon et où mes oncles chantaient en chœur. J’ai joint Les Campagnards au début de la vingtaine. On défend une approche festive et brute de la musique traditionnelle. J’aime que la musique serve à rassembler, à faire danser et chanter des foules énergiques. Du plaisir à la pelletée !
Vous mettez aussi votre travail et votre talent de musicien au service de la lutte contre le décrochage scolaire dans Lanaudière. Comment y parvenez-vous ?
Avec des collègues de La Turquoise, on a imaginé un événement de collecte de fonds autour d’un projet de record Guinness : rassembler mille tapeux de pieds pour une chorégraphie de 5 minutes, et récolter 100 000 $ pour la Fondation des Samares. Je serai metteur en scène du spectacle et responsable du déroulement du record. On travaille fort pour tenir cet événement l’an prochain, après avoir dû le reporter cette année en raison de la pandémie.
De quelle manière votre carrière musicale vous sert-elle dans votre travail en assurance de dommages ?
Jouer dans un groupe de musique m’a aidé à affiner mon entregent. On discute avec un grand nombre de personnes après les concerts, et on a un public très varié. Ma petite notoriété locale nous amène parfois de nouveaux clients. Ce que les gens ignorent souvent, c’est qu’un artiste de musique traditionnelle doit être un excellent chercheur pour dénicher les perles du répertoire dans les archives. Mes compétences en recherche me servent aussi tous les jours chez La Turquoise.
Comment jonglez-vous avec travail, famille, amis et carrière musicale ? Votre agenda doit être très chargé !
En effet ! Les spectacles, les pratiques, les jams et les festivals occupent 70 % de mes fins de semaine. Je compose une partie des chansons et je donne de mon temps pour faire connaître la musique de nos racines aux gens du Québec. La clé est tout de même de savoir parfois dire non, et de remplir l’agenda seulement en fonction de ses vraies disponibilités.
Le travail de courtier est un métier humain. Qu’est-ce qui vous a le plus surpris dans vos relations avec vos clients ?
J’aime particulièrement le milieu de la construction. Il est rempli de personnalités colorées, qui m’apprennent beaucoup sur l’humain. Certains sont de caractère chaleureux et convivial, d’autres préfèrent une relation rigoureuse et ferme – il faut savoir s’adapter à chacun ! J’évolue facilement dans ce milieu-là, qui me rappelle mes années de coach de football. Je suis toujours coach en assurances : j’aide mes clients à cibler précisément leurs besoins et à réfléchir à tous les cas de figures, pour leur offrir le meilleur service.
Chez La Turquoise, tous les courtiers mettent ainsi leurs talents et leur personnalité au service de leur travail. Pour tous vos besoins en assurances, contactez-nous !